“On n’a plus le temps de rien aujourd’hui. Ou si, juste le temps de comprendre qu’on n’en a pas.”
Plus le temps de se poser, d’écrire, de respirer le matin, de goûter vraiment aux choses, d’être ému.e en écoutant une chanson, de comprendre le monde et ses sinuosités. Pas le temps de réfléchir à ce qu'on veut faire de nos vies. Ni même de se demander à quoi servent vraiment les trottinettes électriques. C’est dire.
Également pris dans la nasse d’un capitalisme qui se fait ogre du cronos, je lance cette lettre qui comme une respiration bimensuelle ! En tentant d’utiliser quelques mots qui parlent du monde qui nous entoure.
Elle me permettra de prendre le temps de poser quelques idées, de partager des ressources qui me tiennent à cœur et de me concentrer sur un objet d’écriture, autre que professionnel. D’user de quelques mots fugaces en somme. Et goûter de nouveau à ces choses fragiles qui peuvent, à mon sens, empuissanter l’existence.
Vous y retrouverez des réflexions personnelles, des questions que je me pose sur le temps, la vie, les choses, des suggestions d’articles qui font réfléchir (sciences sociales, international, éducation, militantisme…), mes découvertes musicales et parfois même des mini-poèmes inédits1 !
Toutes les deux semaines, le jeudi à 10h, faites une pause et accueillez ces quelques mots.
Si l’aventure vous tente, et pour recevoir votre première lettre, inscrivez-vous !
Si vous êtes déjà abonné.e et que vous appréciez cette lettre, vous pouvez en parler à vos ami.e.s.
Calme-toi, Mallarmé.